Un chat positif au FIV, ça veut dire quoi ?

On entend souvent, quand on s’intéresse à l’adoption d’un chat, parler du FIV. Mais qu’est ce que c’est exactement ? 🧐

Le Virus de l’Immunodeficience Féline est une maladie virale et malheureusement incurable. Elle est souvent comparée au sida, car elle comporte les mêmes effets, à savoir déficit immunitaire et vulnérabilité aux maladies.

Par sa mauvaise réputation, le FIV peut effrayer quand on souhaite adopter un animal. Voici quelques informations pour vous rassurer et vous aider à passer outre ce préjugé !

Des vaccins à jour pour son chat négatif au FIV 💉

A ce jour il n’existe malheureusement pas de vaccin contre le FIV. Cependant, il est conseillé de tenir à jour les autres vaccins de son animal négatif au FIV afin de limiter les risques de transmission entre chats (car non, le FIV ne se transmet en aucun cas du chat à l’homme, et n’est pas transmissible entre espèces). Si votre chat est enfant unique, il n’y aura absolument aucun risque pour lui ou pour vous !

Les soins pour un chat FIV 💊

Comme évoqué, la santé d’un chat FIV est tout de même un peu plus fragile. Il est donc recommandé de tenir ses vaccins à jour (typhus, coryza et rage sont un bon début) et de le vermifuger. Pensez également à nettoyer régulièrement son environnement, en particulier sa litière. Enfin, votre vétérinaire peut vous conseiller des compléments et vitamines pour booster son organisme 😎

L’alimentation d’un chat FIV 🍗

Pour nos animaux domestiques, la santé passe beaucoup par l’alimentation ; elle doit être la plus saine et équilibrée possible. N’hésitez pas à choisir une alimentation adaptée, qui vous garantira d’éviter des petits tracas de santé comme des infections urinaires, problèmes intestinaux, etc. qui pourraient dégénérer. Nous en parlons dans d’autres articles ! (Pssst … c’est juste ici)

La vie quotidienne avec un chat FIV 😺

Elle n’a aucune raison d’être différente ! Votre petit compagnon poilu sera tout aussi dynamique et aimant qu’un autre. Sans se voiler la face, son espérance de vie sera peut être moins grande, mais c’est une raison encore plus importante pour lui offrir la meilleure existence possible et en profiter à fond !

En résumé …

Pour conclure, il est important de garder à l’esprit qu’un chat FIV vivra tout aussi bien qu’un chat lambda en intérieur, moyennant quelques précautions qui sont parfaitement valables pour tout animal.

Ecrit par Jéromine et illustré par Mathilde, bénévoles de l’association Les Chats Libres Vaudais

Un Noël pour votre chat, quels cadeaux pour lui faire plaisir ? 🎁🎄

Tic tac, il est presque l’heure d’ouvrir ses cadeaux au pied du sapin !

Mais, si vous souhaitez gâter votre petite bête et êtes encore en panne d’idée (et qu’il ne s’est pas déjà fait plaisir avec vos décorations de Noël 🐱) nous vous proposons quelques idées et, surtout, les cadeaux à éviter 🤩

✅ Les do :

  • Une fontaine à eau : ce beau cadeau permet à votre chat de boire plus souvent, ces petits coquins étant largement plus attirés par l’eau courante qu’un bol classique. Cela lui fera très plaisir et préviendra de futurs problèmes de reins s’il ne s’hydrate pas assez !

❌ Les don’t :

  • De la viande crue : en effet, même si c’est techniquement très bon pour nos petits carnivore, vous risquez de déstabiliser la digestion d’un chat habitué aux croquettes. En effet, la viande crue est très vite digérée, alors que les croquettes, aliments transformés, demandent beaucoup plus de temps. Mélanger les deux régimes d’un coup sera donc dangereux pour nos petits compagnons ! Si vous souhaitez les gâter, préférez de la viande cuite par vos soins, sans sel ou huile, ou espacez bien les deux repas pur cette fois.
  • Un bout de votre repas : foies gras, rôti, bûche, sardines, ces aliments humains préparés avec du sel, des sauces, des huiles, ou pire, du chocolat, sont très néfastes pour nos petits bouts ! Ils seront ravis d’une pâtée pour l’occasion.
  • Du thon en boîte ou, même naturel : c’est plutôt simple, il y a toujours du sel rajouté dans ces boîtes, ou de l’huile, et c’est malheureusement catastrophique pour les reins d’un chat ! Restons sur des aliments spécifiques. Les boîtes Schesir par exemple se rapprochent beaucoup en texture du poisson naturel https://www.zooplus.fr/shop/chats/boites_sachets_barquettes_chat/schesir_boites_chat

Voici nos quelques idées de cadeau de Noël pour votre chat, mais n’hésitez pas à chercher l’inspiration qui conviendra à votre petit compagnon tout en gardant en tête sa santé et sa sécurité, et surtout rappelez vous que ce qui lui fera le plus plaisir, c’est votre présence et votre amour ❤️

Comment choisir la bonne alimentation ?

C’est un des plus grands dilemmes des parents chats : comment choisir la bonne alimentation ? Naviguer entre les marques, besoins et tendances est un véritable casse tête 😵‍ Voici quelques astuces pour mieux s’y retrouver ! 

Nous n’allons pas ici comparer des marques, ni nous lancer dans des analyses scientifiques, mais vous donner 3 clés pour vérifier si la marque que vous choisissez est bonne pour votre chaton.

Le type de protéines 🐟🍗

Bien sûr, votre petit animal est carnivore, et son alimentation doit contenir de la viande. Vérifiez donc bien le type de viande contenue dans ses croquettes ou sa pâtée, et surtout dans quelle quantité. Certaines marques vous vendent du poulet, ou du bœuf, mais « seulement » 20% des protéines sont réellement cette viande là ! Quid du reste ? Il peut s’agir d’abats, et dans le pire des cas de porc, une viande très grasse et peu adaptée au régime de nos minous.

Privilégiez donc une marque qui détaille bien les viandes utilisées. Les volailles, ou le poisson sont les meilleures options, selon les goûts de chacun. Lorsqu’une marque mixe les viandes, ils vous indiqueront d’abord le taux de protéines, puis la quantité de la viande « bonne pub » 🚨

Exemple : 40% de protéines dont 20% de poulet …

Les agglomérants

Forcément, l’alimentation industrielle des animaux ne peut contenir QUE de la viande. Pour des raisons, notamment de texture, des agglomérants sont utilisés. Ceux ci sont peu intéressants pour le régime alimentaire, mais il servent à compléter les protéines avec des vitamines, de la taurine, et à faire tenir la croquette, ou créer une texture de pâtée. Cependant, tous les agglomérants ne se valent pas ! 

Privilégiez les agglomérants sans gluten, comme la pomme de terre ou le riz de brasserie.

Évitez la farine de maïs, les céréales (mais acceptables en petite quantité, malgré leur mauvaise réputation) et la pulpe de betterave, source de sucres 🚨

L’équilibre des composants

Il s’agit là de la compétence la plus complexe et la plus vitale pour bien choisir l’alimentation de nos animaux : savoir identifier la répartition des composants dans un produit 🧐 

Sachez avant tout que les fabricants ne sont pas tenus de fournir cette information, et si vous additionnez les pourcentages des ingrédients vous allez vite remarquer que vous n’arrivez pas à 100% ! 🚨

Tout d’abord, sur le total que vous obtiendrez en regardant les composants analytiques (donc la répartition des ingrédients) vous pouvez ajouter l’humidité ; ce qui fait que la nourriture n’est pas sèche comme de la pierre. Elle est en général à 10% pour les croquettes et 75% pour les pâtées. C’est déjà mieux ! 

Vous pouvez compter 1 ou 2% pour les compléments (taurine, vitamines, etc.), mais globalement, que reste t’il ? 

Et bien, les glucides. Dont du sucre. Et si le montant restant dépasse le 25% , aie aie aie ! Imaginez l’équivalent dans nos assiettes … 

Exemple : 58% de poulet, 5% de pommes de terre, 2% d’œuf, 3% de hareng, 3% d’additifs (huiles et vitamines) donne 70% d’ingrédients, plus 10% d’humidité : il reste environ 20% de sucre (et cet exemple concerne une très bonne marque de croquettes)

Voilà, ces quelques éléments peuvent déjà vous permettre d’être plus vigilant et autonome sur l’alimentation de vos animaux.

Veillez à respecter leurs besoins également (stérilisés, junior, senior) et n’hésitez pas à tester jusqu’à trouver leur marque préférée (en respectant un processus de transition à chaque fois bien sûr, on ne change pas les croquettes d’un chat du jour au lendemain et oui !)

Ne soyez cependant pas inquiet si votre chat boude pendant quelques jours ses nouvelles croquettes, surtout si vous prenez une marque très « saine » c’est comme proposer des légumes à un enfant habitué au Macdo. 

Bon courage pour prendre soin de vos animaux !

Ecrit par Jéromine, bénévole de l’association Les Chats Libres Vaudais

Aider son chat à lutter contre la canicule

Forte chaleur, comment aider son chat à surmonter ces hautes températures ? 🌡

Fin de journée, ouf, le thermomètre va timidement redescendre, laissant humains et animaux reprendre leur souffle !

Mimine pour lutter contre la chaleur choisit le parquet pour dormir, idéalement assez proche du ventilateur pour sentir son souffle 😅 Mimine boit beaucoup d’eau, d’ailleurs sa FA lui a même installé un jeu d’eau! Enfin, elle profite d’une pâtée en milieu d’après-midi, pour s’hydrater tout en se faisant plaisir 😍

Quels sont les signes de déshydratation et ou coup de chaleurs chez le chat ? 🌡

> halètement

> hypersalivation, avec notamment accumulation de mousse au niveau de la bouche

> vomissement et diarrhée peuvent accélérer une déshydratation

Face à ces fortes chaleurs, voici nos quelques conseils (exhaustifs)

> Aérer au maximum la nuit et la matinée, puis fermer fenêtre et volet jusqu’aux environs des 20h 💨

> Passer la serpillère avec de l’eau froide pour refroidir les sols 🚿

> Placer des gamelles d’eau un peu partout, penser à changer l’eau régulièrement (le must, une fontaine à eau) 💦

> Préparer des serviettes ou vieux t-shirt mouillés à l’eau froide, les installés au sol, votre loulou pourrait s’y allonger pour se rafraichir (la version sophistiqué s’appelle tapis rafraichissant et peut s’acheter facilement sur des sites dédiés aux animaux) 👕

> Mettre en place un jeu d’eau (sur le net, ça fait fureur) : une bassine d’eau froide, 3 petits boules flottantes, pour que votre chat soit tenté d’y mettre les patounes 🔫

> Privilégier la nourriture humide (type sachet fraicheur, pâté, etc.) plutôt que les croquettes 🍮

> Installer un ventilateur, idéalement placé-y devant une bouteille d’eau fraiche, cela diffusera une brise agréable

> Si votre loulou n’est pas farouche, pourquoi ne pas essayé un brumisateur ?

Et nos chats libres ?

💧Pour aider nos chats des rues, vous pouvez déposer des coupelles (et pas plastique, on ne voudrait pas polluer la planète) d’eau fraîche. Il ne ne faudra pas oublier de revenir changer l’eau, au risque de faire plutôt plaisir aux moustiques ! Idéalement, ajouter une pierre au milieu de la gamelle d’eau, pour sauver les petits insectes qui viendraient aussi s’y mettre 🐝🐜

A votre tour de nous partager vos tips et astuces pour aider nos chats à supporter cette vague de chaleur 🥰 Mimine attend vos suggestions avec impatience !

Pourquoi nourrir les chats libres ?

Vous voyez un ou des chats qui traînent autour de chez vous ou de votre lieu de travail, qui ne viennent visiblement pas d’une maison car ils sont maigres, n’ont pas un beau poil ou ont quelques cicatrices de bagarres. Ils vous attendrissent et vous aimeriez les aider mais vous ne savez pas si c’est une bonne idée ou pas.

Quelle différence entre un chat errant et un chat libre ?

Selon le code rural et de la pêche maritime, la divagation des animaux domestiques, dont les chiens et chats, est interdite. Les maires, en tant que responsables de la police municipale et de la police rurale, doivent prendre toutes dispositions pour lutter contre la divagation des chiens et chats sur le territoire de leur commune.

Depuis 1999, la loi prévoit que les chats errants, plutôt que d’être conduits en fourrière où ils finissent souvent euthanasiés, puissent acquérir le statut de « chat libre » par la stérilisation et l’identification au nom d’une commune ou d’une association.
La stérilisation est un moyen plus humain de limiter la prolifération. Le statut donne le droit à ces chats peu sociables de vivre librement ; cette solution doit idéalement s’accompagner d’un nourrissage, d’un suivi sanitaire et de l’installation d’abris.

Les chats non identifiés vivant dans des lieux publics peuvent être stérilisés et identifiés, ce qui leur permet d’acquérir le statut de chat libre et le droit de vivre librement dans les lieux publics. Les chats libres sont très nombreux, ils sont des millions en France, et beaucoup, ayant grandi sans contact direct avec les humains, ne sont pas suffisamment sociables et donc trop « sauvages » pour être proposés à l’adoption.
Lorsque leur cadre de vie est favorable (sécurité…) et qu’ils bénéficient d’abri, d’un nourrissage et d’un suivi sanitaire, les chats errants nés dehors peuvent mener une vie satisfaisante (les chats abandonnés ayant grandi à l’intérieur peuvent éprouver davantage de difficultés). Ils sont libres d’explorer leur territoire, de chasser les petits rongeurs, et de se sociabiliser prudemment avec les humains qui les nourrissent.

Les idées reçues

« Si je ne les nourris pas, ils partiront »

Peut-être… mais probablement pas.
Tout d’abord, si les chats se sont installés avant que vous ne les nourrissiez, cela signifie que les conditions y étaient propices (abri, eau, rares sources de nourriture comme les nuisibles ou les restes des poubelles, etc.). Cependant, ces éléments sont souvent insuffisants pour que les chats puissent mener une vie en bonne santé. Au fil des mois et des saisons, ils seront de plus en plus affaiblis… Si personne ne les nourrit avec des aliments adaptés, la vie de ces chats sera synonyme de faim et de misère, et ils finiront par mourir de dénutrition, ou être fragilisés par des maladies. Voudriez vous être responsable de maltraitance indirecte envers eux ?

De plus, conformément à l’Article R214-17 du Code Rural, le fait de priver de nourriture et d’abreuvement un animal domestique est reconnu cruauté passive. En effet, le chat errant est reconnu animal domestique par l’arrêté du 3 avril 2014 fixant les règles sanitaires et de protection animale auxquelles doivent satisfaire les activités liées aux animaux de compagnie d’espèces domestiques relevant du IV de l’article L. 214-6 du code rural et de la pêche maritime.

Conformément à l’Article R214-17 du Code Rural, le fait de priver de nourriture et d’abreuvement un animal domestique est reconnu cruauté passive.

« Si je les nourris, cela va en attirer d’autres »

Pas forcément.
Le chat est un animal territorial qui ne va pas vraiment apprécier de partager son point de nourrissage ; quand un groupe se constitue, il dépasse rarement 4-5 chats, à moins qu’il y ait ensuite des naissances. Dans tous les cas, le groupe finit par se stabiliser à une taille maximale. En effet au-delà d’un certain nombre d’individus les « nouveaux » ne seront de toute façon plus acceptés par ceux déjà « en place ».

« Si je les nourris, ils vont se multiplier »

Vrai (mais ils se multiplient aussi même sans nourriture suffisante).
Sans nourrissage adapté, les chats survivent dans des conditions précaires. Leur santé et celle de leur descendance étant dégradée, les individus ne survivent pas tous et peuvent diffuser des maladies.
C’est là qu’intervient la nécessité impérative de stériliser ces animaux, pour leur bien être et le vôtre : pas de reproduction donc de naissance de chatons qui deviendront à leur tour des miséreux. D’autre part, elle enraye le problème des odeurs d’urine, les bagarres en périodes de reproduction et des miaulements des femelles en période de fécondité. Pour finir, elle évite les blessures et les maladies.

Pour vous aider à identifier ces animaux et les stériliser contactez votre mairie ou les associations de votre commune (ou des communes proches).

« Il n’y a qu’à appeler la fourrière pour les éliminer »

Faux : d’autres reviendront.
C’est un vieil adage, mais la nature a horreur du vide. L’euthanasie ou le déplacement des colonies de chats ne résolvent pas la pullulation ; d’autres chats venant remplacer les chats « manquants ». Si un ou des chats se sont installés dans le quartier c’est qu’ils y ont trouvé des conditions favorables qui les ont attirés ; si vous les faites partir d’autres finiront par trouver ces mêmes conditions et s’installer à leur tour.

C’est d’ailleurs de ce constat d’échec qu’est né la solution de stérilisation des chats errants ; solution qui a maintenant fait ses preuves.

La stérilisation est reconnue par tous les experts mondiaux et en particulier ceux de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

« Ils nous débarrassent des rats, souris et autres nuisibles »

Vrai.
Ils ne vont peut-être pas pouvoir tous les éliminer, mais le chat a un gros instinct de chasseur qui va le pousser à chasser tous les petits animaux. Sa présence est donc une aide précieuse dans la prévention des nuisibles rongeurs ; nos ancêtres à la campagne l’avaient bien compris et beaucoup de gardiens d’immeubles ou gestionnaires de cantines apprécient pleinement la présence de quelques chats à proximité des locaux.

« Si je les nourris, ils ne chasseront plus »

Faux.
Le chat, même s’il n’a pas à se préoccuper de sa nourriture, continue quand même à chasser par instinct. Par exemple nos chats domestiques qui ont un accès à l’extérieur chassent aussi alors qu’ils sont bien nourris, et on les voit régulièrement nous ramener des oiseaux ou souris à la maison !

En conclusion

Le nourrissage des chats errants :

  • évite l’éventration des poubelles et l’intrusion chez les gens car affamés et en quête de nourriture
  • maintient les chats dans un état sanitaire satisfaisant ce qui réduit les risques sanitaires, car des animaux affaiblis par manque de nourriture et d’eau vont inévitablement déclarer et propager des maladies.

Cependant, nourrir les chats errants n’est pas suffisant. En effet, cela ne résout pas le problème de la reproduction.
La stérilisation est la seule solution efficace pour maîtriser les populations de chats : l’euthanasie ou le déplacement des colonies de chats ne résolvent pas la pullulation ; d’autres chats venant remplacer les chats “manquants”.

« Que puis-je faire ? »

Si vous rencontrez autour de chez vous des chats dans le besoin, pensez un moment à eux et comment avec quelques moyens simples vous pouvez changer leur vie :

  • leur fournir des croquettes et de l’eau régulièrement, si vous trouvez un lieu sûr et abrité un ravitaillement tous les 2-3 jours peut suffire une fois qu’ils auront pris l’habitude,
  • si possible leur installer un petit abri contre la pluie, le froid mais aussi la chaleur en été,
  • veiller sur eux et surveiller leur état de santé.

En revanche, il faut impérativement s’assurer qu’ils soient stérilisés afin d’éviter qu’ils se reproduisent et que naissent de nouveaux chatons qui deviendront à leur tour des petits miséreux de la rue.

Sources